[a] vous frapper encore,
puisque vous persistez |dans votre rébellion ?
Car, déjà, votre tête |tout entière est malade,
votre cœur est tout affligé.
De la plante des pieds |jusqu’à la tête,
rien n’est en bon état,
ce ne sont que blessures, |contusions et plaies vives
que l’on n’a pas pansées |ni bandées, ni soignées
avec de l’huile.
Le pays que vous habitez |est dévasté[b],
vos villes sont détruites par le feu,
vos campagnes sont ravagées |sous vos yeux par des étrangers.
Oui, tout est dévasté, |détruit par des envahisseurs[c].

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Footnotes

  1. 1.5 Autre traduction : Pourquoi ?
  2. 1.7 Allusion à l’invasion assyrienne de 701, sous Sennachérib (Es 36 à 37 ; 2 R 18.13), ou à l’invasion des Syriens et des Israélites du Nord, vers 734 (Es 7 ; 2 Ch 28.5-8, 17-18).
  3. 1.7 En modifiant légèrement le texte hébreu traditionnel, on obtient : comme à la catastrophe de Sodome (voir Gn 19.23-25).